
GALERIE D'ART
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Oeuvre du mois
Simon Pelletier
1er octobre 2022

Oeuvre du mois
Vincent Paquet
1er septembre 2022

Oeuvre du mois
Feriel Mazari
1er avril 2022

Oeuvre du mois
Feriel Mazari
1er mai 2022
Oeuvre du mois
Maude Bélanger
1er mars 2022

Matthew Higgins
16 mars 2022



Prélude pour la main gauche
Rose Côté
30 mai 2022
Oeuvre du mois
Fiona Ivers

Janvier 2022




Olivier Le Jeune
Te souviens-tu ?
19 février 2022




La SÉPAQ
Te souviens-tu ?
23 novembre 2021




Gaston Miron
Te souviens-tu ?
16 novembre 2021




Lise Payette
Te souviens-tu ?
9 novembre 2021
Les âmes se rejoignant par leurs racines partagent le
rythme du territoire battant.
Leur souffle se dirige vers une clarté commune.
Elle qui pourvoit la vivacité de quelconque fleur
voulant se cultiver.
Un mouvement primordial à la floraison du jardin
abondant d’effluves qui, par la danse du vent, trouve sa note propre.
La tonique qui guide les futures semences loin de
l’oubli de l’essence.
Oeuvre du mois
Analu
Novembre 2021


« Tous ceux qui errent ne sont pas perdus. »
Le Seigneur des Anneaux, tome 1 : La Communauté de l'Anneau,
J. R. R. Tolkien

Maude Bélanger
Oeuvre du mois
7 octobre 2021




Les Colocs
Te souviens-tu ?
28 octobre 2021
« Nous ne serons jamais plus des hommes si nos yeux se vident de leur mémoire. »
Gaston Miron





Loi 101
Te souviens-tu ?
2 novembre 2021
Fiona Ivers
Illustration pour le mois des archives
1 juillet 2021

Luc Mercier
Aubades
19 mai 2021
Cartel
Stalagmites intérieures
Ingère ce qui t’entoure
Ses sensations qui te traversent
Toi (Créer un espace avec l’autre)
Formes
Et déforme
La fausse perception humaine
Croire être stable
Tu te vois comme une image,
fixe
Pourtant tout bouge
tout s’accumule
Les bribes du passé remontent
De petites bulles venant du fond
Fond de l’océan
Là,
Sédimentation (de cire)
Sans toi, je n’ai pas de langage
Sans langage, je n’ai pas de pensée
je n’ai pas de manque
Manque de soi
Qu’est-ce que le soi?
Fiona Ivers




Fiona Ivers
13 mai 2021

Angle mort
Que reste-t-il dans notre champ de vision et dans celui des autres? La pandémie apporte sa part de noirceur. À la croisée des chemins, qu’est-ce qui se cache dans notre angle mort, cette zone trouble de notre avenir? Une réflexion sur le potentiel et les possibilités de chacun en ces temps incertains.
Noémie Fortin-Tchernof
« Des photos qui n'ont pas la prétention d'être plus que des instants d'immobilité après s'être tourné vers la droite, vers le nord, vers le ciel. Toujours en noir et blanc, au risque de se perdre éternellement dans les motifs adverbiaux des textures de ce qui est proposé : des photos sans visage et sans époque, mais des photos avec ce petit quelque chose qui nous a fait nous arrêter. »
— Thomas Arteau, « Éloge de la texture»

Coline Bertrand

Coline Bertrand

Coline Bertrand

Coline Bertrand
Coline Bertrand et Thomas Arteau
6 mai 2021

Thomas Arteau

Thomas Arteau

Thomas Arteau

Thomas Arteau




Rose — 1. Virtuelle seulement
Anaïs Laflamme
15 avril 2021


Fiona Ivers
Illustration pour le novembre bleu


L’inquiète réalité rêveuse de mes huit ans et celle réconfortée par quatre-vingt ans de vie à remémorer. Elles seules sauront m’éclairer dans mes confusions. Mes deux importantes opinions.
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Oeuvre du mois
Analu
février 2021


Ô mes yeux ce matin grands comme des rivières
Ô l’onde de mes yeux prêts à tout refléter
Et cette fraîcheur sous mes paupières
Extraordinaire
Tout alentour des images que je vois
Comme un ruisseau rafraîchit l’île
Et comme l’onde fluante entoure
La baigneuse ensoleillée
« Rivière de mes yeux », Regards et jeux dans l'espace,
Hector de Saint-Denys Garneau
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Oeuvre du mois
Marianne Saillant-Sylvain
avril 2021


Le printemps, comme une bombe
qui ramène tout à la vie
« La fonte », Notre-Dame-des-Sept-Douleurs,
Klô Pelgag
Oeuvre du mois
Jaëlle Méroné
mars 2021





En ces temps historiques de télétravail, nous avons tendance à oublier de mettre ce que nous faisons en perspective. Certes, nous travaillons fort mais est-ce autant que nous le croyons ? Ainsi, je vous invite à réfléchir sur ce que vous percevez de ce dessin, ce pourrait n’être qu’une des faces de la réalité.

En ces temps historiques de télétravail, nous avons tendance à oublier de mettre ce que nous faisons en perspective. Certes, nous travaillons fort mais est-ce autant que nous le croyons ? Ainsi, je vous invite à réfléchir sur ce que vous percevez de ce dessin, ce pourrait n’être qu’une des faces de la réalité.
Christophe Saillant
8 février 2021

En hiver, le mouvement est éclipsé par une sereine, mais rude sensation de fixation, comme si le froid avait une capacité d’enracinement.

La photographie en noir et blanc est le médium par excellence pour illustrer cette absence de mouvement caractéristique du décor québécois.


En hiver, le mouvement est éclipsé par une sereine, mais rude sensation de fixation, comme si le froid avait une capacité d’enracinement.
Thomas Arteau et Coline Bertrand
12 mars 2021

L’image figée fond ensuite, dilatée par la chaleur, en de fluides impressions.

Les flots marins caressent désormais les berges du fleuve, libérés de leurs menottes glacées.


L’image figée fond ensuite, dilatée par la chaleur, en de fluides impressions.
La limite
Alice Martin
18 mars 2021
« Quand les toits redeviennent verts
Quand les enfants ont les pieds secs
On tourne le dos à l'hiver
C'est la fête du printemps
Le grand retour du Saint-Laurent »
Joe Dassin


"Tandis que tous les yeux sont tournés vers le chaos, ce qui se trame en dehors du champ des caméras n'a jamais été si beau."
Toile assez violente, déséquilibrée par le trop plein de pouvoir de l'entité au centre. Tout se ramène à elle, et elle décide du chemin à prendre. Une vision d'horreur, pourtant le sourire du géant nous fait croire que tout va bien. Et nous lui faisons confiance.
Or, quand on sort la tête de l'eau pour prendre une respiration, on se rend compte que la beauté a simplement été redirigée en dehors des champs des caméras. Ce qui est pas mal du tout, quand on y pense.
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Pierre-Étienne Lepage
Hors Champ


Ceci est une expérimentation toute simple avec la couleur et la forme. Mon point de départ : la fameuse expression thinking outside the box. J'en ai fait une représentation visuelle épurée qui laisse place à l'interprétation. Après tout, il faut une boîte pour être en mesure de penser hors de celle-ci.
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Léa Drolet
La boîte


Ma démarche est axée vers la dualité entre les traditions et le nouveau. Dans un monde en effervescence où certains mouvements radicaux naissent comme le véganisme, certains bagages culturels comme la chasse sont mis en doute. J’essaye de trouver une réponse à ce dilemme. Que doit-on faire pour trouver l’équilibre entre les deux ?
Vicky Brunet
Le coeur du chasseur


J’ai représenté une jeune femme pour que les lecteurs au cégep puissent s’associer au personnage. Le rose de ses joues pour l’hiver que beaucoup doivent affronter pour voir leurs amis dans des activités extérieures. J’ai choisi d’utiliser des couleurs pastelles pour faire un lien avec le renouveau et l’espoir de voir cette crise s’apaiser et représenter les couleurs du printemps qui approche.
Maissane Cosials
Jeune femme en pastels


Mon aquarelle est un autoportrait qui s’adresse à une partie de ma vie. La multiplication de yeux représente mes diverses perspectives de voir la vie. La lune et la neige représente le monde froid et nocturne qu’est mon habitat naturel.
Fanny Desjardins
Autoportrait



